Partir c’est écouter l’appel des étoiles

Quand la nuit murmure Va cherche ailleurs la lumière
C’est fermer la porte d’un passé qui tremble
Et marcher vers un demain qui n’a pas de visage

L’immigration est une mer sans carte
Où chaque vague porte un rêve fragile
Où chaque port est une promesse incertaine
On y navigue avec des valises pleines de silence
Et des mains ouvertes pour cueillir l’inconnu

Mais au bout des routes il y a des ponts tissés de langues
Des jardins où les cultures s’enlacent comme des fleurs
Des rires qui effacent les frontières
Car immigrer ce n’est pas fuir
C’est semer des graines dans la terre des autres
Et voir naître un monde meilleur


Publié le 20/11/2025 / 2 lectures
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