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L'envie
Publié le 17/07/2024
J’ai beaucoup aimé ton entame qui reflète bien le sujet de l’atelier qui est que les péchés ne le deviennent que dans l’excès. Le monde cathodique est envieux d’audimat et de concepts le produisant, désormais bien concurrencé par le monde de l’internet et des “influenceurs”. A travers ses icônes, c’est la société toute entière qui vacille et s’oublie… jusqu’où ? Et jusque quand… ?
Masque de craie
Publié le 17/07/2024
C’est très aérien et même stratosphérique, cet oiseau de ses larmes de rage a soulevé les plaques tectopoétiques avec toute la puissance de son authenticité et sincérité. Ton poème est vibrant et concentre tout son suc dans les reflets fruités de ton immense imagination. L’univers tout entier est poésie après cette lecture.
La luxure
Publié le 17/07/2024
Cela est moins évident avec la luxure et c’est tant mieux car même si je ne partage pas les mêmes valeurs que certaines personnes, je suis toujours très mal à l’aise avec les attaques, quand bien même certaines peuvent se comprendre. Je crois que cette personne est elle même un vile produit de la société, son audience qui ne souhaite plus réfléchir et se défouler après le boulot montre qu’il a trouvé la bonne formule pour les bonnes cibles. Il en est lui même prisonnier et je ne parle même pas du rôle de marionnettes que doivent avoir tous les salariés en vue dans l’empire Bolloré qui a tout de même racheté une bonne partie des médias. On se rapproche du modèle américain dont on dit d’ailleurs que la chaîne bolloréenne est le pendant français (et même francophone) de Fox News. Rien ne les fera dévier de leur ligne directrice qui a des visées politiques que plus personne n’ignore. Bonnes vacances Patrice.
Fable sans aucune morale
Publié le 17/07/2024
Un gros coup de cœur car ce n’est pas banal de croiser un poème en tout point semblable à une fable. La Fontaine s’appuyait sur les animaux pour passer ses morales et je trouve qu’il est bien plus difficile d’écrire les fables mettant en scène les humains sans tomber dans le banal. C’est très réussi, bravo Francis Etienne.
L7PC 3 : Colère
Publié le 17/07/2024
Ooops… je parlai du prochain épisode de ton feuilleton de l’été sur Valéry Cyril Hanouna. Je n’ai pas entendu parler de colère chez Valéry mais en revanche chez son patron Vincent Bolloré, j’avais cru entendre parler d’une colère noire. Je me demande donc si Vincent Bollore paye Valery Cyril pour se mettre en colère parce qu’il n’a pas l’air si coléreux que ça. Enfin, tu nous diras cela bientôt. A bientôt de te lire !
L'envie
Publié le 16/07/2024
Je pense que H est envieux de tout ce qui brille. Et il ne faut pas se fier aux apparences, à son air "radieux". Je pense vraiment que H sera un éternel frustré parce que lui sait qu'il a pour seul mérite de penser comme l'immense majorité des lobotomisés qui le regardent. Il n'a rien de singulier ou de différent. Il sait qu'il est médiocre, inculte, superficiel. A propos de ses échecs scolaires, il a beau se dire que les diplômes ne servent à rien, la preuve, il est millionnaire. Il n'en est pas moins vrai qu'il a été incapable d'obtenir son diplôme comme il a été incapable de satisfaire les espoirs de son père. Je sais qu'il le sait. Et j'en suis ravi.
L7PC 3 : Colère
Publié le 16/07/2024
A partir de "Les colères du financeur (V.B) de H sont célèbres: H. est-il stipendié pour se mettre en colère par procuration?" Je ne comprends rien mais je ne suis pas gêné du tout. J'adore le monde féminin. ;-)
L'envie
Publié le 16/07/2024
Si je comprends bien tu distingues bien le péché mignon (de gourmandise) du péché d'envie qui mène à la jalousie. Je te cite "Envie= vouloir être ce qu'un certain être est, vouloir avoir ce qu'un autre a", la question brûle: H. serait-il envieux de son financeur V.B au point que V.B et lui ce soit du pareil au même? Si c'est le cas, Valéry n'est que la "copie" de V.B. Par "devoir de copie", il pèche presque par procuration. Il ne porte pas les symptômes de l'envie "tristesse, tourment ou jalousie". Quand je vois un cliché en passant par la presse, je lui trouve le teint radieux de Matteo Salvini sur la plage. ^^^À bientôt de te lire pour un nouvel épisode.
L7PC 3 : Colère
Publié le 16/07/2024
Je suis heureuse si tu as passé un bon moment. Je trouve que tu as raison, l'activité 7 péchés capitaux proposée par Léo est très difficile. Elle implique une participation semaine donc un certain rythme d'écriture. De plus, si c'est un feuilleton, il faut pouvoir épuiser le sujet ou bien trouver comment ordonner ses idées en restant amusant. Les colères du financeur (V.B) de H sont célèbres: H. est-il stipendié pour se mettre en colère par procuration? Es-tu gêné par le prochain épisode?
L7PC 3 : Colère
Publié le 16/07/2024
Ha ha ha ! C'est amusant ! Je me demande comme t'es venue l'idée. C'est tellement invraisemblable. C'est drôle. Il y a cette femme, cette emmerdeuse, qui te suit, qui nous suit, dans chacune de tes histoires. Il faudra aussi t'allonger sur un divan pour savoir qui elle est. Il est chouette ce texte. Et tu parviens à faire un truc difficile dans ce défi, amuser en parlant de morale. Je galère. Et puis pour chaque texte, tu dois tout recommencer. Moi, je me suis trouvé un fil conducteur. Pour la colère, ça risque d'être plus un handicape qu'une aide mais bon, jusque là, ça tient plus ou moins. ;-)
L'envie
Publié le 16/07/2024
J'ai commencé le tien ! J'en suis à la discussion entre le directeur et le sauveur de lézards. Moi aussi je te dirai plus tard. ;-)
L'envie
Publié le 16/07/2024
Bonsoir, je prends le temps de te lire et j'écris plus tard. À bientôt
La luxure
Publié le 15/07/2024
Merci pour tout, ta lecture, tes commentaires et les liens que j'ai suivis. C'est très intéressant, surtout le premier. Pour en revenir à Hanouna, sa vie privée, très privée, je ne la connais pas. J'ai du broder à partir de sa fameuse phrase. ;-)
Fable sans aucune morale
Publié le 15/07/2024
Chère Myriam voilà un commentaire qui me touche beaucoup et dont je savoure le détail. L'expression de la vanité peut-être comme vous le dîtes , en effet ,très diverse. On la retrouve bien entendu chez le fourbe qui se cache derrière une image, ou le flatteur qui au contraire se donne en spectacle pour séduire. La racine de l'orgueil n'est autre que l'égoïsme et l'admiration effrénée de soi-même. Beaucoup plus que l'oisiveté l'orgueil est la mère de tous les vices. On voit des gens de grande intelligence, qui aveuglés par l'orgueil, deviennent des bêtes de somme avec des œillères. Il règne en général dans des cercles de pouvoir, qu'ils soient politiques, littéraires, scientifiques ou religieux. Ainsi vous avez parfaitement raison le fauteur de crime inverse les rôles, car il est très facile de manipuler un orgueilleux comme il lui a été aussi très facile de manipuler une proie par la flatterie. Je me rappelle de cette phrase, tirée des caractères de La Bruyère (de la société 60) qui nous dit fort justement : « le dédain et le rengorgement dans la société attire précisément le contraire de ce que l'on cherche, si c'est à se faire estimer. » Ainsi on pourrait dire comme vous le dîtes si bien qu'il n'y a pas de gagnant ni de perdants ! Merci beaucoup Myriam pour avoir laissé un magnifique commentaire sous ce texte merci surtout pour la fidélité à suivre mes poèmes. Cordialement F. Étienne
Fable sans aucune morale
Publié le 15/07/2024
Poésie brillante que nous pourrions colliger à l'atelier d'écriture sur les 7 péchés capitaux. Certes, tout flatteur vit au dépens de celui qui l'écoute. Il n'y a pas d'esclave qui ne se revendique "homme de peu d'esprit" sans "maître" estampillé par une marque, un "tatouage", une marque de distinction. Celui qui prend le risque de flatter s'engage à supplanter le vaniteux naïf. Les deux me semblent ambitieux, l'un sur le déclin, l'autre en devenir. In fine, c'est bien une vanité naïve qui produit la chute vers l'orgueil. "Le fourbe serviteur" ne me semble que l'instrument de sa propre volonté de pouvoir. "Le fauteur de crime" a juste inversé les rôles. Les rôles se renversent, l'un "dégourdi", l'autre "engourdi" mais aucune égalité ne se fait jour entre les deux.
La luxure
Publié le 15/07/2024
Luxure... V.G.E original avec Lady D cela semblait douteux mais qui est "Kelly"? J'ai passé un très bon moment à te lire entre deux CR de bilan... En revanche, si ce que tu appelles "luxure" revient simplement à être considérée comme un "panorama" au lieu d'une personne c'est le traitement commun réservé à une femme dans de nombreuses situations. Tu surprends H. en flagrant délit de "connerie" mais il révèle le comportement de bien d'autres dont les conséquences funestes inspirent crainte et pitié. Je trouve que les colloques universitaires restent un haut lieu du mépris entre homme et femme à études égales! Pour la luxure chez les connards intelligents je te renvoie à ça https://academia.hypotheses.org/40324, concernant les conséquences funestes potentielles on peut deviner facilement https://academia.hypotheses.org/25555. Quand au consentement "éclairé", je dirais "non" vu la relation asymétrique qui se pose d'emblée. On pourrait réécrire comment je me suis disputé ou ma vie sexuelle de Desplechin à la lumière d'aujourd'hui. Matériellement, il y aurait beaucoup à écrire sur le sujet mais je suis embringuée dans l'affaire de M-G et j'ai promis de finir. ^^^
L'avarice
Publié le 15/07/2024
J'ai finalement tenu compte et intégré ta remarque. Le premier paragraphe a été remanié en ce sens. ;-)
L'avarice
Publié le 15/07/2024
J'ai finalement tenu compte et intégré ta remarque. Le premier paragraphe a été remanié en ce sens. ;-)
Derniers mots de mendiant
Publié le 15/07/2024
Cher Léo me voici sur la dernière page pour aujourd'hui ! Tu t'étonnes sur ma capacité à « annihiler jusqu'au dernier espoir , mais toute création est capable de détruire jusqu'au bout. Elle en possède les moyens et il est vrai que pour simuler l'anéantissement avec des mots il faut une certaine mesure de précision mais aussi une non moins certaine capacité à lier les mots pour étouffer le texte. Je suis terriblement ému devant un inconnu assis devant moi sur un bout de trottoir, les cheveux vaguement hagards, le regard presque indifférent, les mains couvertes de pustules tendant vers moi une main pour une goutte d'argent. La misère celle que l'on peut voir dans nos rues, est une maladie de notre société comme pouvait l'être au Moyen Âge le choléra. Or la poésie se doit de porter un regard sur cette absolue laideur de notre monde. La technique utilisée pour exprimer l'anéantisssement demande bien entendu une grande observation de la souffrance Ainsi, j'ai traversé les rues de Bangkok, j'ai parcouru les boulevards de Berlin Est, j'ai volé des trésors sur les marchés aux puces, j'ai bu dans des bars de quartier, et j'y ai reconnu la même détresse, celle de Dickens dans les Christmas Carols. L'importance de la poésie consiste toujours à semer la bonne parole. Merci encore Léo, je vais de ce pas rejoindre mon grand lit où frissonnent parfois des rêves inouïs. L'aube en laine et lamé se profile soudain Sous le voile cendré d'un ciel couleur de daim.
Angle d'ombre
Publié le 14/07/2024
Cher Léo, de tes commentaires j'apprends comment tu lis mes poèmes. Dans celui-ci c'est la puissance de l'expérience qui fascine. Cette merveilleuse image où nous sommes à bord « d'une embarcation précaire a laquelle on se cramponne de toutes nos forces. » me fait immédiatement penser à ce passage des Évangiles où Jésus endormi sur le fond de la barque se réveille aux cris de ces marins effrayés à qui il reproche vite : « d'être des hommes de peu de foi. » Tu as par ce rapprochement touché ma plume d'une grâce infinie. La conjugaison des forces comme celle des couleurs d'ailleurs, s'évalue au poids des mots. Certains seront très lourds comme par exemple le mot chaîne, d'autres au contraire d'une magnifique légèreté comme par exemple le mot laine, d'autres encore parfaitement équilibrés emploi comme le mot silence. Quand on écrit il faut donc tenir compte de ces masses et savoir les manier parfois jusqu'à l'extrême sans provoquer le moindre déséquilibre. On m'a offert un jour un jeu composé de nombreux petits morceaux de fer de toutes sortes, sphériques, carrées ou longs, et de quelques aimants, aussi très différents de volumes. Le but de ce jeu est de suspendre toute cette ferraille à une tige en fer vertical, montée sur un socle, et l'on s'aperçoit vite en jouant que l'on doit savoir mesurer la pesanteur de chaque pièce pour ne pas voir son château s'écrouler. Il en est de même dans la poésie ! Merci encore Léo je saute la prochaine page. À tout de suite. Cordialement, F Étienne. Le froufrou d'un baiser effleure de sa langue La joue en bois doré d'un archange qui tangue.
Rougeur de cierge
Publié le 14/07/2024
Cher Léo, quelle magnifique analyse et d'Édouard Munch et de mon écriture ! Tu as vraiment trouvé le mot qui décrit la fonction principale de la poésie : « une passerelle entre deux rives » c'est tellement juste ! La valeur d'un texte se juge à cette qualité. La poésie permet d'entrer dans un autre monde, comme si notre humanité n'était qu'une facette de notre réalité. Ce soir fuse dans les cieux ces étincelles de couleur qui déchirent la soie de la nuit noire pour n'en laisser paraître que des feux d'artifice enchantant les enfants. Soudain des ponts de lumière nous transportent tout entier dans des pétillements de bleu, des scintillements d'or, des coulées de grenat ou des broussailles de buissons auxquels notre regard puisse toutes les couleurs qui composent le rêve. Oui la poésie est un passage d'un monde de silence à une marée de chuchotements. Je me suis longtemps demandé et je me demande encore si sa puissance et aussi invisible, intouchable, inconcevable comme le sont celles de L'innommable Dieu. Lorsqu'on entre dans le champ poétique d'un poète, on pénètre dans une partie inconnue de l'univers, dont on rapporte les extraordinaires merveilles. Écrire consiste bien à prendre le gouvernail d'un vaisseau, affrontant calmes et tempête, avec la foi de découvrir « le nouveau monde » que Smetana a si merveilleusement illustrée par sa symphonie ainsi nommée. Merci encore Léo, je saute sur le galet suivant. À tout de suite. Effet. Étienne. Balbutiant le temps entre des lèvres d'ange La fée en robe d'astre épouse l'or du Gange.
Parloir de mages
Publié le 14/07/2024
Cher Léo, merci pour cette magnifique expression « un peu de lumière dans les cachots que l'on nomme quotidien ». Oui la poésie est lumière, oui sa force est inestimable et oui la poésie est une clé qui ouvre toutes les portes de cachots. Tu as très bien vu et ressenti dans ce poème comment se heurtent en nous ces voies contradictoires qui parfois se croisent définissant notre destin comme une tapisserie, dont une invisible main, tracerait le dessin. Je confesse toujours que si je devais mourir demain, je ne regretterai aucun instant de ma vie, parce qu'elle a été, est,et restera poétique, et que mon destin n'a été qu'une longue phrase dont j'ai enjolivé parfois les reflets d'une brise d'écume. Je suis un homme de prière qui néglige parfois l'oraison, mais qui lit avec extase Bossuet. Dieu me pardonnera-t-il cette supercherie ? Je le saurai dans quelques temps ! J'aime beaucoup ton expression « les mots noués les uns aux autres forment une sorte d'évasion. ». On raconte que certains détenus dans des camps de concentration ont survécu en récitant silencieusement et continuellement de la poésie. La force que leur a procurée n'est comparable à aucune autre puissance. Merci encore Léo, je continue le parcours de tes commentaires avec un tel plaisir ! Cordialement. F. Étienne. Des serpentins de sable enroulés à des mâts Flottent sur l'océan de mes regards béats.
Marbre de sel
Publié le 14/07/2024
Merci cher Léo, merci beaucoup pour un commentaire encore ciselé de toute ta sensibilité. J'ai passé beaucoup de temps au bord de la mer, dans mon enfance et plus tard dans ma vie. La mer est l'image par excellence de la vie. On n'y retrouve la beauté bien sur mais aussi la puissance, la colère, la douceur, le rêve, et surtout la nostalgie du voyage. La mer est inséparable du port où se termine un voyage et où commence un nouveau rêve. Elle est omniprésente dans mon écriture, que ce soit son rivage ou son immensité, que ce soit ces rochers ou ses plages de sable. Lorsqu'on se plonge dans la mer tous nos sens sont en ébullition : le goût salé de ses baisers, la fraîcheur de sa peau, la pesanteur de son corps, l'éclat de sa surface et le bruit de ses vagues. Tous nos sens perdent la tête ! C'est la matrice de la fécondité mais aussi la racine de la virilité. Les marins qui l'embrasse connaissent le danger qu'elle peut leur faire défier. Une mer en colère est l'ombre de la peur comme une forêt en feu est le fruit de l'horreur. Il faut savoir poser les mots sur la fine balance de la poésie pour parler de la mer sans noyer le buvard dans son écume blanche. Peut-être au fil de mes sonnets, quelques lecteurs ont-ils fait beau voyage. Merci encore de tous tes mots Léo et à toute suite. Cordialement, F. Étienne. Des taches de saphir suspendent l'horizon Au dernier grain de sable en pleine floraison.
Louis II de Bavière
Publié le 14/07/2024
Cher Léo merci encore de poursuivre un brin de discussion avec moi et d'attacher tant d' importance à quelques-uns de ces mots qui me servent à creuser la pensée mais aussi le cœur. Stéphane Zweig écrit avec une parfaite maîtrise de la langue dont il sait merveilleusement utiliser toutes les couleurs. Il m'a toujours fasciné et son destin n'a fait que rajouter au mystère de son écriture, comme la vie dramatique et la mort mort de Maria Callas ajoutaient à sa voix le prestige de la légende. Ce qui trouble chez Stéphane Zweig c'est le mélange constant du bien et du mal vu avec une impartialité et une froideur qui donne à son écriture cette magnifique sensation de perfection. Il est pour moi modèle autour duquel je travaille beaucoup et je comprends que ton ami écrivain, disparu aujourd'hui, est pu être paralysé par la puissance de cet écrivain. L'éblouissement des connaissances et des intérêts de Stéphane Zweig sont suffisamment puissants pour faire taire n'importe qui. Je suis tellement touché que mes commentaires, mes réponses, soient aussi pour toi une source de joie et de plaisir. Je n'ai jamais eu la conscience de mes limites et parfois comme je dis souvent je peux paraître pédant, ayant parcouru bien des pages, des chemins, des pays, et même quelques océans ! Merci pour tant de fidélité, tant d'enthousiasme et tant de partage. À plus tard et de tout cœur. Cordialement, F. Étienne. Sur la route du ciel des miettes de cristal Cueillent des mots tombés d'une conte oriental.
Louis II de Bavière
Publié le 14/07/2024
Je me suis promis que plus tard, je répondrais à tous tes commentaires passionnants et généreux, vraiment très enrichissants. Ils méritent le même égard que tes magnifiques poèmes, la plus grande des consciences et rigueur dans la lecture. Je suis aussi très heureux d’en apprendre plus sur ton incroyable parcours. Un ami auteur disparu n’est plus arrivé à écrire durant un certain temps tant Zweig l’avait bouleversé, tant dans l’écriture que dans le fond. À plus tard.
Derniers mots de mendiant
Publié le 14/07/2024
Dans ce poème les mots accablent l’humain et l’animal, pour ainsi dire le vivant. Le silence et le froid élèvent le vide au sacre de la toute puissance, là où tout est défait, où tout gît sans plus aucune force, sans que le divin n’y puisse rien. Impressionnant cet agencement de mots et d’images précis capables d’annihiler jusqu’au dernier espoir. Chapeau.
Dimanche 14 juillet sur un campus magnifique
Publié le 14/07/2024
Très heureux de te relire Gilbert, je commençais à m’inquiéter. Pour tout avouer le niveau élevé des références m’échappent totalement mais je suis ravi de lire le commentaire de très belle facture de Myriam. Bon 14 juillet !
L'avarice
Publié le 14/07/2024
J'ai hâte de voir comment tu t'y prendras pour tirer une conclusion positive sur ce personnage... tu sais, l'épisode 8... À bientôt :-)
L'avarice
Publié le 14/07/2024
Je me suis demandé dès le premier texte si ce même personnage pouvait couvrir les 7 péchés capitaux, et nous en sommes donc à deux. J’ignorais totalement cette histoire d”optimisation” fiscale (en revanche quand les plus pauvres rusent on parle de fraudes). Le toujours plus nous emportera tous.
L'avarice
Publié le 14/07/2024
Je pense plutôt que les personnages dangereux sont en général ridicules. Militant très à gauche, j'aime faire les poubelles des salopards, l'activité m'offre un exutoire. La difficulté de mon travail ici est de parvenir à rester amusant en parlant d'un individu aussi sinistre. Je fais de mon mieux. ;-)