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Blues rock
Publié le 08/11/2025
La poésie vient lier l'intensité de la résistance, de la reconstruction, au rythme du Rock qui ne s'épuise jamais. Cela donne du sens à la liberté désirée par l'âme qui la chante. Merci, et au plaisir de vous lire une nouvelle fois !
La traversée
Publié le 08/11/2025
Une traversée entre les esclaves de l'indifférence et les mots qui tuent, une traversée intime aussi, pour accepter ce qui, à l'intérieur, rend différent à l'extérieur, une traversée dans la tempête, douloureuse mais enrichissante.
La traversée
Publié le 08/11/2025
Une traversée chaotique mais déterminée, qui rappelle que la destination c’est parfois le voyage.
Allô
Publié le 08/11/2025
Merci à vous deux Léo et Valérie J’étais parti d’une simple chanson de Sheila, presque pour sourire un peu… et puis, en écrivant, je me suis rendu compte que ce “manque d’affection” résonnait bien plus fort qu’on ne croit. Derrière la légèreté, il y a ce besoin vrai d’humain, de bras, de présence. Vos mots à tous les deux montrent combien cela touche différemment, mais profondément. Alors, gardons un peu d’humour, mais surtout… un peu plus d’affection.
Allô
Publié le 08/11/2025
Tu en fais un commentaire profond, Léo. J’aime cette manière que tu as de voir derrière les mots, de pointer ce que notre société exige sans offrir : l’apparence du “bien-être” plutôt que la vraie écoute. Merci pour ton regard.
Blues rock
Publié le 08/11/2025
J’aime beaucoup cette composition qui s’appuie sur deux genres musicaux majeurs pour exprimer et chanter l’âme humaine. J’aime tout autant les nombreuses images et fulgurances poétiques qui déroulent sous la rétine et dans le rythme donné. Ces rimes nourries d’homonymes pour faire battre le coeur des mots et confier bien à propos, la balade d’une âme en liberté. Merci Valérie.
L'hypersensibilité
Publié le 08/11/2025
Bienvenue et merci pour ce premier partage. Un témoignage vibrant, à fleur de peau et de sensibilité à l’image de ce qui y est décrit. C’est aussi un texte très pédagogique qui expose bien tout ce que revêt ce terme que l’on ne prend pas assez au sérieux pour celles et ceux qui en souffre, car ce peut être des joies les plus folles et comme vous le dites si bien, des souffrances incommensurables. A plus tard.
La belle endormie
Publié le 08/11/2025
Merci beaucoup Léo ! Je te souhaite un bon week-end À plus tard
La belle endormie
Publié le 08/11/2025
Tout en sensualité et en sensibilité, tes mots suspendus aux parures d’automne m’ont fait un bien fou, de la même façon que l’on inspire lentement et progressivement l’air frais de l’hiver et que l’on expire les yeux fermés à l’écoute de tout son corps, à l’oubli de toute son âme, être plénitude dans l’instant. Merci de ce partage Evelyne, à plus tard.
Allô
Publié le 08/11/2025
L’injonction à aller bien est une arnaque absolue : c’est facile d’exiger lorsque le coût ne repose pas sur soi. Disposer des autres lorsqu’ils vont bien et sont utiles, la bonne affaire.
L'hypersensibilité
Publié le 08/11/2025
Je pense que le regard change sur la différence et l'hypersensibilité. Merci pour ce shoot d'espoir, cet éclat joyeux, cette force spontanée. Et vive les hypersensibles!
Blues rock
Publié le 08/11/2025
Ce texte résonne comme une confession musicale, un cri poétique où le blues rock devient une manière de se reconstruire. On y perçoit une force intérieure qui transforme la mélancolie en mouvement, la douleur en rythme. Les images sont puissantes, parfois déroutantes, mais toujours habitées — elles traduisent une sensibilité rare, une écriture qui ose la matière brute des émotions. Merci pour ce partage vibrant. Il y a dans ces mots une sincérité et une intensité qui touchent profondément, comme une note tenue longtemps après le silence.
L'hypersensibilité
Publié le 08/11/2025
Merci infiniment Mary. Je ne m’attendais pas à autant de douceur et de compliments dans tes mots. Je n’écris pas pour plaire, juste pour exprimer ce que je ressens, comme je suis, sans filtre. Alors lire un tel retour me touche profondément. Vraiment, merci du fond du cœur.
L'hypersensibilité
Publié le 08/11/2025
Quel texte magnifique. Tu as su capturer avec une finesse rare la vérité de l’hypersensibilité — cette force fragile, cette intensité qui fait de chaque émotion un univers. Tes mots respirent la justesse, la tendresse et une profonde humanité. C’est une écriture qui touche droit au cœur, parce qu’elle ne triche pas. Elle dit ce que beaucoup taisent, elle met des mots sur l’indicible. Continue à écrire ainsi, avec cette authenticité lumineuse. Tu as cette capacité précieuse de transformer la sensibilité en art, la douleur en beauté, le silence en émotion. C’est une force immense, et tu la portes avec grâce.
Après lui
Publié le 08/11/2025
Entre la mise en abyme puis la contemplation, j’ai aimé voir ces phrases courtes nourrir de façon si efficace le temps long. Lorsque je suis au téléphone j’ai tendance à marcher, comme si les pas m’aidaient à séquencer ma pensée, à lui donner de la contenance, de l’ancrage. Les randonnées sont aussi des temps pour se ressourcer et se recentrer, se vider la tête autrement. Ce qui m’a capté également dans ton texte ce sont ces deux notions qui vont conduire à la séparation : la gentillesse et la naïveté. Ce n’est pas tant qu’elles existent ces notions (et heureusement qu’elles existent), mais c’est plutôt comment on les emploie et à qui on les destinent, et il semblerait que cet homme vient de comprendre qu’il n’aura plus le loisir de bénéficier de ce qu’il honnit : ça tombe bien parce qu’il n’aura plus l’occasion d’y être à nouveau confronté. Je pense que lorsque les reproches deviennent le ciment des relations, c’est qu’alors tout est fichu, où tout est gâté comme le disaient des connaissances ivoiriennes. J’aime bien le terme « gâter » de par ses différentes façon de les interpréter. Super texte Allegoria.
La bande à Paulo,
Publié le 08/11/2025
Et bien ça décape, j’ai immédiatement pensé au club des 5 d'Enid Blyton mais en trash. Pas d’enquêtes à mener, pas de Dagobert mais des tests d’entrée et surtout une plume qui ne s’encombre pas de pincettes pour aborder des thématiques crues et sans tabous. Là où le club des 5 n’a eu de cesse de soigner les récits pour qu’il soient grand public, le tien par l’usage d’injures et de termes crus qui heurtent et bousculent, fait sauter le vernis des apparences et des convenances. Et la réflexion que je me suis faite, c’est que si l’on change l’aspect « cabanes » qui rassemble et fédère dans le projet sur une activité d’apparence innocente et bon enfant (et que bien d’anciennes générations ont connu dans le passé pour créer du lien social)… par les réseaux sociaux actuels dont on sait que les violences, le harcèlement, l’exclusion et j’en passe font des dégâts considérables et mènent jusqu'au suicide bien des jeunes, alors on se dit que ton récit aussi déstabilisant soit-il, questionne en montrant, ce qui est tu en silence. Que les cabanes d’hier peuvent être des écrans d’aujourd’hui et qu’indépendamment du lieu, c’est une nouvelle fois l’humain bien ancré dans sa société, son environnement, les modèles éducatifs, ses codes, ses paradoxes et surtout ses crises, qui est livré à des situations de grandes complexités à des âges où l’on a besoin de se construire à travers le regard des autres. Et comme l’a très bien relevé Allégoria, l’identité, l’appartenance et la masculinité (qui revient en force via les écrans et les influenceurs )sont des thématiques plus que d’actualités. Et l’autre chose qui m’a fait réfléchir à partir de la réflexion du club des 5, c’est la série des « Martine » (Martine à la campagne, fait ci ou ça…) qui est aujourd’hui détournée en mème pour revisiter des sujets hautement plus corrosifs… une autre façon de faire sauter le vernis des convenances. Alors merci Valérie car ton texte à le mérite de pouvoir en parler et d'y réfléchir. A plus tard.
Guy de Maupassant
Publié le 08/11/2025
Ayant été "élevée" aux auteurs classiques, venant de la France "profonde" et rurale, je ne peux que me réjouir. Je trouvais chez lui ce que je voyais parfois autour de moi.
La bande à Paulo,
Publié le 08/11/2025
Merci. Je mets des textes ici assez anciens piochés dans mes réserves. Cela me permet de les améliorer aussi. J'utilise beaucoup de dialogues, parfois trop je pense. Me reste à trouver un équilibre entre narration et dialogues. Pour ce qui est de l'interdiction à 18 ans, je me dis souvent que ça évitera peut-être aux plus jeunes d'être choqués, ne la trouvant pas toujours justifiée vu tout ce qu'ils connaissent maintenant, mais comme tu l'écris, pour avertir d'une certaine violence que j'exprime parfois.
Après lui
Publié le 08/11/2025
Belle évocation du sentiment amoureux, de la rupture et des émotions qui les accompagnent. Nous serons nombreux à nous y voir, avec la nature qui nous aide à la renaissance. Personnellement, c'est chez "elle", si je puis écrire, "Dame nature" que j'ai toujours cherché les forces pour continuer ou guérir de mes blessures. Toute la vie qui s'y exprime nous encourage à garder l'espoir. Avant de voyager, c'est par les livres d'abord que j'ai eu conscience des forces de la nature. On peut être originaire de la campagne et ne pas en savoir grand-chose. En ressentir pourtant ce qu'il y a de "magique" en elle. Le renouvellement incessant et toute la beauté qui en jaillit. J'en ai oublié la ville, la ville comme nature apprivoisée aussi et la promesse d'autres rencontres.
Allô
Publié le 08/11/2025
La dépression chez les autres, ça reste compliqué. J'aime bien ce texte qui résonne un peu comme une ritournelle pour évoquer les manques d'amour et de tendresse et l'absence. J'espère que les jeunes sauront s'affranchir des écrans et comprendront que la vie est ailleurs. A l'heure des robots "affectifs", ça fait un peu peur pour l'avenir. Trop de gens comptent sur les autres pour être heureux. Apprendre à l'être même seul. Le reste vient après.
L'ivresse des flots
Publié le 08/11/2025
Quel agréable écho tes mots sont-ils à mon poème, et je t'en suis profondément reconnaissant. Il m'est une joie immense de savoir que mes vers ont trouvé en toi un rivage si accueillant. Merci pour cette lecture si généreuse et sensible, elle m'inspire à continuer d'écrire.
Après lui
Publié le 08/11/2025
Bravo, Allegoria. Ton texte est d’une intensité rare. Il mêle délicatesse et lucidité, douleur et renaissance, avec une écriture d’une grande justesse. Chaque phrase semble respirer, chaque image porte une émotion sincère. Tu parviens à transformer une expérience intime en une réflexion universelle sur la force intérieure, la marche, la liberté retrouvée. C’est une œuvre à la fois poétique et profondément humaine. Félicitations pour cette sensibilité et cette maîtrise des nuances. Ton écriture touche, élève et inspire.
Ech tiot Louis
Publié le 08/11/2025
Merci infiniment, Allegoria. Tes mots m’ont profondément émue. Tu as su lire entre les lignes, là où se cachent les silences, les respirations, les émotions à demi dites. Ta sensibilité éclaire le texte d’une lumière nouvelle, douce et sincère. C’est un vrai cadeau de sentir qu’il a trouvé un écho en toi, qu’il a touché quelque chose de vrai. Merci pour ton regard attentif, pour ta bienveillance, et pour la poésie que tu offres en retour.
Le Chépaquoi
Publié le 08/11/2025
Le problème avec les « chepaquoi », c’est aussi qu’ils échappent un peu à notre contrôle, ils dépendent de nous et des autres et des interactions entre les deux parfois. Ils sont imprévisibles et aussi très liés au moral du jour. Le fait qu’il disparaissent par intermittence, nous permet d’apprécier les bons moments. J’ai bien aimé ce texte .
Bouillon de taupe,
Publié le 08/11/2025
Beau texte un peu provocateur… On en a le souffle coupé Heureusement que c’est un fantasme car des vieilles dames riches et méchantes il y en a beaucoup et beaucoup d’autres aussi et de là à en faire une soupe… tout cela ne donne aucune excuse, et si j’étais juré, je voterais coupable !
Après lui
Publié le 07/11/2025
La ville est cette ressource indispensable où tout peut recommencer. On suit tes pas vers elle en même temps que ta réflexion nous y entraîne. Rappellera-t-il? Le rappellera-t-elle? Le ''trop tard'' sonne comme un point final. Et malgré la tristesse, le prochain acte de création est en marche...
La 46ème heure
Publié le 07/11/2025
Bonsoir. Effectivement j'ai essayé de compiler les paradoxes de la justice tout en rendant justice à ses acteurs brillants et valeureux. Le reste sert à la mise en scène, hélas tout est vrai, à part les citations tirées de fictions, elles-mêmes inspirées...de la réalité. Merci.
La bande à Paulo,
Publié le 07/11/2025
Je ne vais pas te faire faux bond. Il m'a fallu le temps d'un texte... Tu touches à des thèmes forts comme la masculinité, l’identité et l’appartenance, et tu le fais avec une énergie qui frappe. Les personnages sont bien construits, et leurs luttes résonnent vraiment. Cela dit, les sujets que tu explores sont profonds et peuvent parler à beaucoup, mais ils peuvent aussi être délicats pour certains. Merci Valérie :)
La 46ème heure
Publié le 07/11/2025
Une atmosphère pleine de tension et d’incertitude ! Tu abordes des thèmes complexes avec une clarté qui rend la justice à la fois accessible et touchante. Les références aux affaires célèbres et ton regard sur la nature humaine ajoutent vraiment une dimension à ton récit. J’apprécie aussi comment tu mets en lumière les injustices systémiques tout en racontant une histoire qui nous captive. Merci !