Les images que tu utilises, comme le “climat de peur” et la course vers la mort, touchent vraiment juste et résonnent avec beaucoup d’entre nous. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est ta critique de notre société actuelle et ton invitation à revenir à la simplicité et à vivre l’instant présent. Tes mots nous rappellent combien il est important de vivre authentiquement et d’accepter nos imperfections. Merci pour ton partage :)
Ta plume est empreinte de sensibilité et d’authenticité, et elle résonne longtemps après la lecture. Ta façon de capturer les émotions de Louis, ce poids invisible qu’il porte, est à la fois poignante et universelle. Tu réussis à évoquer avec délicatesse les luttes intérieures des enfants, tout en mettant en lumière les moments de joie qui illuminent leur quotidien. Merci de partager cette réflexion si touchante sur la vie, la résilience et la beauté des petites choses :)
Une écriture audacieuse et percutante. Tu abordes un thème lourd avec une réelle intensité. L’humour noir que tu intègres ajoute une belle profondeur au texte. Merci pour ce partage, Valérie :)
Des sujets importants traités avec légèreté. Tes mots, à la fois profonds et rafraîchissants, nous poussent à réfléchir et à agir. Même la liste des tâches, qui paraît banale, montre bien le décalage entre la routine quotidienne et le besoin de quelque chose de plus. C’est comme un vrai reflet de notre vie. Merci :)
Bien vu. L'idée était d'évoquer tout ce qui m'était apparu effarant dans la ''justice''. Et cet amoncellement est effrayant. L'inspecteur? Il nous a servi à ouvrir le sujet, genre scène de film (crime) puis il a disparu dans les méandres de l'enquête, nous laissant sur notre faim, un peu, mais en pire, comme pour toutes ces familles de victimes qui n'auront jamais de réponses...
Merci Enzo pour cette riche participation qui traite de nombreux sujets qui montrent bien à quel point la justice est une affaire complexe, et qui fascine la société toute entière. Mise à part l’usage du mot « trouvaille » mal adapté à la situation (il y a une connotation d’heureux dans l’usage de ce mot), tu fait bien ressortir toutes les personnes et corps de métiers qui se croisent dans ces terribles drames, des erreurs commises dans l’instruction qui peuvent conduire des innocents en prisons, la fascination de la société sur le sordide (et le nombre d’émissions qui pullulent sur le sujet en est la représentation), les monstres, les victimes, leurs avocats et l’indicible et l’incompréhensible qui mènent au chagrin, aux colères et à la révolte. Ma seul remarque dans la construction c’est que l’on part sur un policier dans l’enquête et qu’il disparait totalement sans que nous comprenions ce qui est advenu ensuite. De façon plus globale et avec tout ce que tu relèves une question me taraude : qu’avons nous appris de toute cette violence afin qu’elle ne se reproduise plus ? Tu as mis à plat de nombreux éléments qui font réfléchir et nul doute que les autres participations en développeront d’autres ou approfondiront les sous-thématiques que tu proposes de prendre en compte Merci de ta participation Enzo, la prose te réussit aussi très bien. A plus tard.
J’ai toujours trouvé que la (tentative de) prise des châteaux forts représentait à merveille l’allégorie de la vie dans laquelle il faut apprendre à se protéger des agressions extérieurs, pour laquelle il faut être capable de riposter aussi, et puis la solitude à force de rester trop enfermé à craindre de tout perdre. Le brouillard ajoute un voile de sinistrose de ne pas voir d’où peut surgir l’ennemi. Merci Francis-Etienne de ce nouveau partage.
Un texte sincère qui témoigne de l’usure d’une société qui a érigé la productivité et la compétitivité comme valeur idoine… c’est à en pleurer. Merci Salima.
Ton poème est une véritable onde de beauté. Il m’a emporté dans un univers où la mer, la lumière et le rêve se confondent avec une grâce infinie. Tes mots dansent comme des reflets sur l’eau, et chaque vers semble respirer une émotion profonde.
Félicitations pour cette écriture si maîtrisée et inspirée : elle touche, apaise et élève tout à la fois.
Bravo Salima,
Tes mots résonnent avec une intensité rare. Tu as su capter la frénésie du monde moderne et la transformer en un cri poétique, lucide et vibrant. Chaque vers respire la vérité, la fatigue, mais aussi la sagesse d’un regard qui sait encore s’émerveiller malgré le chaos.
Ta plume est forte, sincère et profondément humaine. Continue à écrire ainsi, avec le cœur, avec le souffle du réel et la beauté du simple.
Félicitations pour ce texte puissant et plein d’âme.
Merci Léo. C’est un très beau retour, empreint de sensibilité et de justesse. Tu mets parfaitement en mots l’idée essentielle du texte : apprendre à trier, à alléger, à ne garder que ce qui nourrit et fait grandir. Cette image du sac devient alors une métaphore de la vie elle-même — un espace qu’on remplit, qu’on vide, qu’on réorganise au fil du temps pour continuer d’avancer plus librement.
J'apprécie toujours les textes qui malgré la noirceur célèbre la vie et l'espoir. Merci Salima.
J'ai été bénévole et demandais toujours l'origine des prénoms qui, à eux seuls, m'évoquaient le voyage, l'autre, l'ailleurs et trop souvent l'exil forcé.
Oui, je suis d'accord. Flagrant en me relisant. C'est vrai, on devine trop la suite.
Pour ce qui est de placer mes textes ici ou là, je tâtonne encore.
Merci pour les retours.
Ton texte est une nouvelle fois très touchant et très imagé ce qui aide à visualiser, comprendre et se projeter dans la réflexion de sujets métaphysiques complexes. Et effectivement ce sac de la vie peut s’avérer rapidement lourd et difficile à porter si l’on ne songe pas à faire le tri de son contenu, et décider de ce qui sera le plus utile à garder pour faire que sa vie corresponde à quelque chose de bien plus léger à vivre. Merci Mary.
Bonjour Valérie, j’aime aussi car il faut une sacrée dose de courage pour sortir du confort des représentations et ne pas rester dans l’écriture de textes lisses et convenus qui rencontreront l’adhésion à coup sûr. Pour devenir écrivain il faut s’affranchir du jugement des autres et ce que les lecteurs pensent ou projettent n’appartiennent qu’à eux. Ensuite je rejoins l’avis de Patrice sur l’apparition bien trop prématurée du policier qui pourrait d’ailleurs en être la chute. Et puis je me dis aussi que ce texte aurait toute sa place dans l’atelier d’écriture en cours « Justice », car selon la protagoniste la peine de mort se justifie pour le délit de taupassité aggravée et soulève donc une réflexion (même amorale) sur le sujet. A plus tard.
La retraite tant attendue est aussi un gros chambardement à préparer et effectivement le planning est par instinct ce qui ressort le plus : que vais-je faire de tout ce temps ? Et à la vérité, la majorité des retraités que je connais… ne disposent pas d’une seconde à eux entre les voyages, l’aide aux enfants, le bénévolat ou les clubs pour garder du lien social, faire un peu de sport pour garder la santé, lire tous les livres que l’on a jamais eu le temps de lire… et beaucoup vont vers ce qu’ils ne connaissent pas non plus et se trouvent de nouvelles passions. Le temps disponible est très vite comblé. Pour ce qui est de « l'utilité est-elle utile ? » , il faut pour répondre à cette question sonder ses besoins ou les faire se révéler car certains besoins n’apparaissent pas comme tels si on ne sait pas qu’ils existent. Le besoin est une notion complexe qui réponds à la question « qu’est-ce qui (m’) est nécessaire ? » et cela varie d’un être à l’autre et engage plusieurs autres notions comme par exemples la liberté ou l’habitus qui méritent réflexion… À travers le besoin, on entre dans la métaphysique et la vie ne suffit pas à en percer tous les mystères alors la retraite… le temps est une ressource qui vient en réalité à manquer sur tout, l’une des plus précieuse avec la santé qui va occuper de plus en plus de place malheureusement. Et la retraite une ultime chance de pouvoir en disposer à sa convenance. Merci pour ce partage qui active tellement de choses… à plus tard.
C'est chouette. Pour moi, il y a eu deux parties. D'abord un point de vue alternatif où la ménagère a le bon rôle et la vieille le mauvais, alors qu'on montre souvent l'inverse. J'ai beaucoup aimé parce qu'il y a une gradation et je n'ai pas senti de remplissage. Je déteste le remplissage. Enfin dans mon souvenir, il y avait une gradation. Ensuite, il y a cette phrase qui commence par "Alors oui monsieur le Policier...". On comprend tout de suite la suite. Je trouve même que c'est un peu trop clair. Après la première gradation, c'est brutal, je trouve. Ensuite, l'explication du meurtre est bien avec un côté "delikatessen". ;-)